Nous sommes fin octobre 2000, ma saison professionnelle vient de se terminer et je vais enfin remettre les « fils à l’eau » …….


Vendredi 22 novembre 2002, j’arrive au poste du chalet pour je l’espère passer de bons moments, après avoir tendu les cannes et goûté au joie de ce lieu magique je reçois un coup de fil de mon pote Lionel qui me met en garde au sujet d’une alerte météo concernant le sud de la France.

L'espoir s'est cassé avec la chance, c'est pas grave on fera sans.

Depuis le mois de février un lac m'obstine grave (comme diraient les jeunes), la difficulté y est importante, les carpes peu nombreuses et méfiantes, les poids aléatoires, mais quelque chose m'y attire inexorablement, même la population carpiste ne me rebute pas, je ne suis pas asociable "quoi que maintenant" mais j'ai tendance à la fuir comme la p........., elle n'est pas toujours des plus sympas et ne rentre pas dans mon état d'esprit, à l'inverse de la nouvelle mode warrior je serais plutôt baba cool.

La carpe suit un cycle incontournable durant toute sa vie. D’ailleurs toutes être vivants le suit aussi … c’est bien sur le cycle des saisons !!

Il y a une belle différence entre le sud et le nord de la France pour les saisons froide. Ici, dans le sud nous avons quand même de douces journées en hiver et dés sa fin ont vois déjà beaucoup de personnes sur les terrasses de café prendre un bain de soleil entre midi et deux. La carpe aussi suit cette tendance en venant se réchauffer dans les couches d’eaux supérieures pendant quelques heures… d’ailleurs, la pêche en bordure abriter du vent n’est jamais aussi bonne que dans la période ou l’eau commence à se réchauffe en bordure.

Un beau soleil presque pas de vent le top pour le coup du matin