Journal intime d'un carpiste 2/2
J’étais plongé dans mes pensées carpistiennes, toujours confiant malgré mes 2 semaines de galère, lorsque j’ai senti un froid envahir mon abri. Ce froid avait une consistance presque palpable, ce n’était ni le vent qui avait refroidi mon parapluie, ni même le fait que cette nuit était d’un noir d’encre étoilée.
C’était quelque chose d’autre, quelque chose qui me dépassait : je ne pensais pas si bien dire.
Je ne sais plus très bien pourquoi je suis sorti de mon abri, je pense avoir voulu me réchauffer un peu, en marchant. Si j’avais su…
Publié par Capou le 03-07-2010